(je m'ennuyais et savait pas quoi faire, alors je vous rejoint, vous ne m'en voudrez pas?)

Lundi matin, le son de la forge de mon père me réveil j’ouvre les yeux et sort de mon lit. Je n'aime pas aller à l'école, mais bon, il faut bien. Je jouerais encore à la guerre avec les autres garçons au pire. Je pris mon goûter et partit pour l'école. J'avais, attaché à ma ceinture, une épée en bois que j'arborais fièrement, arrivée à l'école, je rejoint le groupe de garçons avec lequel je me trouvait, il avaient fait de moi le chef du groupe, pourquoi ? Parce que j'étais la plus forte pardi ! Je les soulevait d'un bras et, quand on se battaient, je les mettait tous à terre. Nous montions un plant tous ensemble.

« toi, toi et toi vous faites les démons, avec toi et toi  Malik et moi, avec Brann on fait les chevaliers, vous avez pris l'école en otage et nous on viens la délivrer ! »

Les jeunes garçons se mirent en place alors et je sortit mon épée. Courant dans la cour je me battait comme si l'histoire était vrai, je me battait avec l'un des garçon, le faisant tomber à terre puis, je continuait donc à me battre avant de sentir mon épée heurter quelque-chose. Je me retournait avant de faire un pas en arrière. Elle c'était Sydrille, nous étions dans la même classe et elle était trop bizarre pour moi... Elle savait faire bouger des objets sans les toucher, comme moi je savait le faire avec le métal, la différence c'est que moi c'est un pouvoir, elle je sais pas ce que c'est, mais c'est pas un dragon, du coup, elle ne peut pas avoir de pouvoir normalement !

Me retournant en suite je fit mine de continuer à jouer, courant après un des garçons qui jouait le rôle d'un des démons. En quelques minutes, nous avions, empêcher les filles de jouer à la marelle et les autres garçons d’embêter les filles, et nous avions fait courir la maîtresse dans toutes la cours. Je me redressait, essoufflée, il restait encore deux démons et la cloche allait sonner mais j'étais fatiguée, je me laissait tomber assise un peu plus loin dans la cours, sans faire attention à ce qui allait arriver ou ce qu'il y avait derrière moi, ou devant moi. J'attendais la cloche. Elle sonnerait l'heure de la défaite pour les démons et l'école serait libérée. Nous devrions donc arrêter de jouer pour aller apprendre un tas de chose inutile quand on veut devenir forgeronne.