• Stats :

Vitalité
Attaque
Magie
Déf. Physique
Déf. Magique
Vitesse

• Magie & Armes :
  

Laeva ne possède nulles autres armes que sa fidèle mandoline et son flûtiau, cependant jamais l'idée de s'en servir tel un gourdin ne lui est venue, tant elle y tient... Ces instruments sont réalité un vecteur pour que s'exprime sa magie et fonctionne comme une baguette pour tout autre mage. En jouant un air spécifique, elle est capable d'influencer son environnement, et pour les sorts ayant un effet sur les personnes, seules celles entendant la mélodie seront influencées.
Sa mandoline est de forme classique mais se distingue par le motif gravé sur son flanc : il est semblable à celui qu'arbore Laeva sur sa joue, et s'illumine d'un halo blanc lorsque sa magie gorge l'instrument avant d'être propulsé au fur qu'elle pince les cordes.
Quant à son flûtiau, il fut fabriqué dans un bois sombre et se présente comme un simple bâton droit et lisse, percé ci et là de trous... Une excroissance circulaire sous le bec permet d'y glisser une lanière afin de le porter aisément. La magie sera ici projetée par les interstices.
note : Laeva chante plutôt bien mais accompagner ses sorts de paroles n'a aucune influence.

[répertoires MAGIQUES donc liste non exhaustive]

> Requiem d’Hefring
Accélère l’évaporation de tout liquide se trouvant autour d’elle dans un périmètre de 5 mètres, dans une mesure de (– 10) cL / minute

> Exaltation de Thurd
La magie de Laeva est transformée (dans une proportion double) en énergie insufflée à quiconque écoutera cette mélodie entrainante, et se sentira revigoré (n’influe pas sur les blessures physiques !).

> Gjallarhorn
Cette magie ne dépend pas de la cible mais de la surface : quiconque se trouvera à moins de 2 à 10 mètres d’elle sera influencé par ce sort qui engourdit les sens pendant deux minutes si la mélodie n’est pas rejouée.

> Ode de Delling
Diminue la perception visuelle de(s) cibles(s).


> Oraison d’Eir
Toute personne entendant cette mélodie verra son temps de régénération physique doublé pendant cinq minutes.

> Ode de Sigyn
Toute personne entendant cette mélodie verra son temps de régénération morale (dégâts magiques) doublé pendant cinq minutes.

> Ode de Baldr
Accroît la perception visuelle de(s) cible(s).

> Mélodie de Forseti
Toute personne entendant cette mélodie ne peut mentir aussi longtemps qu’elle sera jouée.

• Caractère :
  

Derrière cet air juvénile et innocent se cache l’âme d’une artiste maudite par son grand souci existentiel : la perfection. Quant à la modestie, elle n’y voit guère de problème… pour la seule raison que ce trait de caractère semble quasi inexistant chez notre amie. A se demander comment elle arrive à marcher sans se casser la figure et enfiler ses chausses.
Toujours en quête de Beauté, elle est de nature curieuse voire naïve. Certains diront sotte mais passons. Cette curiosité, donc, lui a valu bien des ennuis, quand elle se retrouva au mauvais endroit au mauvais moment. Néanmoins, ce défaut a ses avantages : Laeva se trouve au sein d’un vaste réseau de commérages et rares sont les informations inconnues d’elle. Il faut dire qu’être barde y aide beaucoup : les tavernes sont de ces lieux où une oreille suffisamment attentive saura saisir d’intrigantes rumeurs murmurées par-dessus une table. Au besoin, offrez une tournée générale et voilà qu’on se montre bien plus disposé à parler.
Les nombreuses affaires louches dans lesquelles elle a trempé comme un poisson gorgé d’eau de mer lui ont permis de développer un certain instinct du danger –ainsi qu‘un bon jeu de jambes (sur le plancher ou au lit, il faut remarquer la nuance). Le revers de cet aspect de sa vie, est qu’elle se montre parfois excessivement prudente –pas couarde, non non non- et fuit au premier danger à moins que sa curiosité soit plus forte. Et elle l’est souvent.
Aisément fascinée, Laeva se montre généralement distraite et son attention se focalise guère plus de quelques minutes sur un sujet. Ne vous étonnez pas qu’elle passe du coq à l’âne au cours d’une discussion. Mais montrez un peu d’intérêt et vous vous rendrez compte qu’elle est une intarissable bavarde… Possédant une certaine fibre pathétique. Car elle est maudite et on ne peut plus modeste, Laeva gratifiera vos oreilles attentives de maintes plaintes et récits de ses mésaventures.
Autre détail insignifiant, l’humaine fait rarement étalage d’empathie… Parce que, malgré tous ces grandes vertus, la jeune femme peut se montrer tout autre : sa vie à vos yeux n’est que factice comédie en réalité… Douce et inventive, elle reste avant tout une artiste, sensible au monde qui l’entoure et à autrui.

• Physique :
  

Née dans un milieu hostile, son corps au teint blanc est couvert d’un nombre assez important de cicatrices. Si certaines ne sont que des éraflures, celle que lui a laissée la morsure d’une épée se révèle plutôt impressionnante : une trace longiligne allant de son flanc droit au niveau de sa poitrine à sa hanche gauche. Laeva, n’ayant à l’époque aucune emprise sur sa magie, la vit se guérir promptement tout en la dotant d’une couleur non pas rose mais blanche, à la similitude du motif qu’elle arbore sur sa joue. Il est apparu la première fois qu’elle fit usage de la magie, alors qu’elle atteignait ses cinq ans.
Laeva mesure 1m65 pour 57kg, et possède une taille fine et élancée contrastant avec la rondeur encore juvénile de son visage. Ses rouges ont souvent une teinte rosée du fait qu’elle ne peut s’empêcher de se mouvoir, de fureter ci et là… Elle aime se maquiller d’un léger trait de charbon noir mettant en valeur la couleur vermeille de ses iris pareille à ses lèvres pulpeuses.
Enfant, la jeune femme possédait une foisonnante crinière auburn mais à chaque fois qu’elle fit appel à son don, sa chevelure se décolora : aujourd’hui, Laeva porte ses cheveux blancs aux reflets cyans courts afin de pouvoir les dissimuler aisément au besoin. Elle n’est pas albinos de naissance.

Concernant sa tenue vestimentaire, Laeva ne se montre guère féminine et affectionne sa tenue sombre de voyage : une cape bleu-nuit surmontée d’un large capuchon. Elle revêt en-dessous une tunique vermillon, ceinturée par une bande de cuir noir où peuvent s’accrocher des fioles, une bourse et son flûtiau. Laeva est chaussée de solides bottes de voyage en cuir noir, de bonne qualité, et lui ayant coûté deux mois de cotisation et de travail acharné.
Elle range dans sa besace (une panse d’ours offerte par un client en guise de paiement) divers objets hétéroclites amassés tout au long de ses voyages : un rouleur de vélin vierge, une plume, une petite bouteille d’encre noire, deux carrés de tissus dentelés, des cordes de rechange, une fiole de graisse animale pour entretenir sa mandoline… Bref, cette besace est aussi remplie qu’est dégarnie sa bourse.

• Adore : Elle apprécie bien des choses mais rares sont ceux qu’elle adore. Parmi eux, on note : la pluie crépusculaire qui l’apaise tout autant que la mélodie harmonieuse d’une vielle, les saveurs sucrées et douces des galettes de maïs dorées, la caresse voluptueuse d’un chatoyant tissu acheté au prix d’un bras voire deux… Et puis évidemment, les prunelles vives et la bouche charnue de quelque bel étalon.
  
• Déteste : Son ouïe d’artiste ne peut souffrir du grincement aigu des oiseaux. Et pia pia pia et pia pia pia… Qu’un mage les cuise à la fin ! Qu’au moins ces quarts de cervelle aient une utilité… Mis à part ces poulets miniatures, Laeva s’agace aisément, de petits détails en sa qualité d’artiste perfectionniste. Un cadre mal positionné, une tâche au milieu d’un océan immaculé, un maquillage mal appliqué… Diantre ! Ces bipèdes ne savent-ils pas respecter l’Art ? L’Art de vivre ?!
  

• Histoire :
  

Née septième fille d’une septième fille, Leava aurait pu devenir une grande prêtresse puisque ses gènes l’y prédisposaient. Cependant, manque de chance ou au contraire indéniable fortune, sa mère agnostique et alcoolique ne pouvait l’imaginer autrement qu’en petite tenue de fille de plaisir ou, à la limite, de servante dans quelque famille plus favorisée par le hasard –et l’ascendance. Bref, selon les prédilections maternelles, Laeva était destinée à une vie de servitude... Que dire de son autre géniteur ? Une heure de vie commune avant que le paternel ne se jette sous les piques acérées des grilles d’Utgard, désespéré par la perspective renouvelée d’être asservi par ses huit femmes.

Car Laeva est native d’Utgard oui. Dès son plus jeune âge, exploitée par ses sœurs diaboliques –née des entrailles d’un démon peut-être !- elle est allée à l’encontre de la vie : hommes en rut, baisers d’amoureux, viols et hurlements, allégresse d’avoir décapité quelque ennemi, beuveries et membres tailladés…
Bien qu’aujourd’hui cette enfance lui ait laissé quelques séquelles psychologiques, elle lui a permis de trouver sa voie. Gamine au milieu de tant de décadence, son havre de paix fut la quête de la Beauté. L’Art. Initialement, Laeva les chercha dans son quotidien : la teinte rosée d’une joue baisée, la délicatesse d’un brin d’herbe desséché… Elle développa ainsi une bonne vue.
Mais sa majorité atteinte, une idée évidente avait enfin réussi à éclore dans son esprit : jamais elle n’arriverait à accomplir sa quête derrière les quatre murailles d’Utgard. Alors la jeune fille ramassa ses effets et… se fit la malle.
Et sa famille dans tout ça ? Pour les intéressés, sa mère, en marchant sur une flasque oubliée, se brisa la nuque sur un tonnelet de bière rassie. Quant à ses sœurs, trois allèrent en maison de plaisirs, deux autres en prison pour meurtre et vol (pas viol, quoique Laeva avait eu des doutes). La dernière prit les armes et s’engagea dans l’armée de la ville.

Voilà un an que la petite Laeava quitta son Utgard natale. Fauchée, elle ne put compter sur nul autre moyen de transport que ses pieds… Et une année lui fut nécessaire afin d’atteindre, enfin, Lotheican. Histoire d’enfin contrôler sa fichue magie. Au moins son long voyage lui permit-il d’apprendre à jouer de la mandoline et du flûtiau. Et à descendre cinq chopes de bière sans nul autre problème que les sous.

Que dire ? Cette fiche est esthétiquement très belle et quand on termine la lecture, on se dit "WTF ? Trop cool !". J'aime beaucoup ton personnage, surtout sa magie !

Fiche validée.

N'oublie pas de remplir la feuille personnage dans ton profil.

Bienvenue sur la terre du milieu !

PS : n'oublie pas de changer de pseudo dans le profil. Merci !

J'ai jamais été validée aussi vite !
En tout cas, merci pour tout :D

Normal, le staff est très compétant.

Même si Gilyan et Ulrich foutent rien...

/ressort la tête de ses cahiers pour voir cette abomination (non, je ne parle pas de cette magnifique fiche, mais des paroles crétines tout droit venues d'un crétin)/

WHAAAAAAAAAAT?! Viens-là Windsor, on a des comptes à régler.



Bienvenue parmi nous, en tout cas!

Vous êtes sur ma fiche. J'octroie donc un bonus de frappe à la demoiselle.

Je sens qu'on va bien s'entendre, nous deux.

Plait-il ? Colle-lui une bonne raclée, que je m'occupe un peu les mirettes

Seyren Windsor a écrit:

Normal, le staff est très compétant.

Même si Gilyan et Ulrich foutent rien...

*Compétent hein Sey' =) Histoire de pas faire que troller ! [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]

Perso bien sympa, et fiche agréable ! Bienvenue parmi nous ! =D