-39%
Le deal à ne pas rater :
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON AVR-X2800H, Enceinte ...
1190 € 1950 €
Voir le deal

" Invité "
Anonymous
Who am i !

Quand les trésors ne se cachent pas sur terre {Zeke} Empty

Quand les trésors ne se cachent pas sur terre {Zeke}

MessageSujet: Quand les trésors ne se cachent pas sur terre {Zeke} Quand les trésors ne se cachent pas sur terre {Zeke} Icon_minitime1Mar 31 Jan - 7:37
« Jézabel… »

Quel ridicule sentiment que l’affection. S’attacher à un être de chair et de sang qui vous est repris dès que vous détournez les yeux de sa personne. Pourtant, ce maigre squelette, ce mélange d’eau et d’épiderme lui manquait. Même sa voix tonitruante venait à lui donner l’impression que le monde n’était jamais assez bruyant depuis. Ce sale impétueux avorton avait choisi de s’attaquer à cette lady digne des plus grands palais de ce royaume. Qu’à cela ne tienne, Zadya avait fait justice. Cela faisait mal. Beaucoup conseillent d’oublier mais la réalité rattrape souvent l’illusion que cette personne peut vivre à travers vous. Elle n’était plus là et rien ne la ramènerait à moins que la plus puissante des magies puisse exaucer cet unique vœu. La rançon serait certainement sévère, on ne vous rend pas quelqu’un comme on change de coiffure. Pourquoi parfois tout est si compliqué ? la vie est sacrément mal foutue ce qui est paradoxal car, beaucoup chérissent cette entité aux facettes multiples. A cet instant, la jeune femme n’avait qu’une envie, s’éloigner. Asunia lui rappelait trop d’irrésistibles souvenirs. Ainsi, elle s’était rendue en Lotheican, paradis des mages et détentrice de son lieu favori, l’Observatoire.

Pourtant, ce n’était point son ancienne amie qui lui avait montré ce lieu mais bel et bien son géniteur. Alors, pourquoi venir ici ? Peut-être parce que les astres contemplent le monde et dansent au dessus des êtres orgueilleux avec une humilité trop facile. Ces fières demoiselles aux couleurs vivifiantes se joueraient-elles de nous ? Partageraient-elles quelques secrets sur nos déboires ? Non car les étoiles sont pures et étincelantes. Si le monde est faux et l’humain vicieux, notre donzelle savait qu’elle pouvait encore les observer sans craindre ni jugement, ni déception. Peu importe la nuit et l’heure où les ténèbres enveloppent les environs, elles sont toujours là à rivaliser d’ingéniosité afin d’éclairer les pas des âmes égarées. Beaucoup sont prises dans les filets de gens peu honnêtes comme Zadya mais d’autres sont épargnées, peut-être grâce à cette lueur qui les avertit du danger ? Allez savoir.


« Nous y sommes Mirage, l’Observatoire est devant nous. »

Laissant sa monture à l’extérieur, attachée à un poteau, l’effrontée venait de s’adresser à son fringuant compagnon, un faucon qu’elle avait adopté à la mort de sa tendre mère d’adoption. Il était convenu qu’ils se séparent quand l’oisillon aurait été capable de voler mais il était resté, seul être à ne point l’avoir abandonné. Celui-ci, perché sur l’épaule de sa maîtresse battit un instant des ailes, signifiant peut-être par là son engouement ou une quelconque forme d’ennui. Ainsi, les deux personnages traversèrent les portes de la bâtisse, empruntèrent les escaliers pour finalement parvenir à la plateforme sensée être proche des constellations. Quelques mages s’affairaient de ci de là, notant dans leurs calepins faits de parchemins le plus imperceptible des changements depuis leur dernière visite. Zadya ne ferait pas d’esclandre, elle n’était guère venue dérober jusqu’à leur plus infime trésor mais contempler l’un de ses pièces précieuses préférées : les étoiles. Pour se faire, la nuit était déjà tombée. Pourtant, le lieu semblait enveloppé d’une aura bienfaitrice et d’une douce onctuosité. Cela restait sûrement le fruit de son imagination et de son affection pour l’Observatoire mais, ici, elle se sentait chez elle.

S’approchant de la rambarde, ne cherchant pas encore à profiter de la vue à travers les télescopes, elle se contenta de lever les yeux au ciel. La noirceur de des traits de ce dernier contrastaient avec la magnificence des bijoux qui l’habitaient. La lune, quant à elle, semblait pleine ce soir-là. Elle n’aurait pu prédire l’heure mais se doutait qu’il n’était pas raisonnable pour une gente dame de trainailler dans les obscures rues en cet instant.

Cependant, tandis qu’elle jouait machinalement avec le pommeau de son épée, un bruit sourd retentit derrière elle. Celui-ci la tira de ses songeries et eut le don de l’agacer. Qui pouvait troubler cette quiétude ? Certes ce n’était point un lieu de confession et de communion. Pourtant, chacun conciliait silence et bruit de la plume courant sur le parchemin avec aisance. Alors, quel malotru dérangeait ? Posant ses yeux sur l’auteur du crime, ce fut un étrange tableau qui s’afficha à ses yeux. D’ailleurs, en réponse à ce dérangement, elle laissa échapper quelques mots.


« Pourriez-vous aller semer votre pagaille ailleurs ? Ne voyez-vous donc pas que certaines personnes aimeraient profiter des étoiles en paix ? A moins qu’elles soient votre, auquel cas, je serai bien déçue. »

Sous cette plaisanterie mal déguisée et de mauvais goût, Zadya avait tenté de rester calme, très calme. Mais sa voix trahissait quelque peu sa rancœur. Enfin, elle ne comprenait pas ce qu’il se passait, peut-être l’intéressé aurait-il une explication ?
Revenir en haut Aller en bas
" Invité "
Anonymous
Who am i !

Quand les trésors ne se cachent pas sur terre {Zeke} Empty

Quand les trésors ne se cachent pas sur terre {Zeke}

MessageSujet: Re: Quand les trésors ne se cachent pas sur terre {Zeke} Quand les trésors ne se cachent pas sur terre {Zeke} Icon_minitime1Dim 5 Fév - 16:47
Le jour se levait à peine, offrant à la vue de Zeke un magnifique mélange de couleurs pastel, et les hommes qui résidaient à Asunia, la capitale de Midgard, faisaient de même. Le jeune homme avait, pour sa part, veillé une bonne partie de la nuit dans la Forêt du Vergeau. Une fois de plus, la faim avait mis fin au profond sommeil dans lequel il était plongé et, afin de calmer cette dernière, il s’était donné pour quête de chasser, sous sa forme de loup, de petits et insignifiants rongeurs nocturnes. Hélas, durant ses recherches, son chemin ne croisa rien d’autre que celui de buissons, d’arbres et de brindilles qui, sous ses pas, se cassaient. D’une certaine manière, cela ne l’étonnait guère. Le sauvageon n’a guère pour habitude de chasser de petites créatures sous son apparence animale et préfère de loin poser des collets ici et là.

Les heures, les minutes et les secondes défilèrent. Zeke était toujours à la recherche de nourriture lorsqu’il entendit, non loin de l’endroit où il se trouvait, des bruits de pas. Lourds et loin d’être discrets, Zeke aurait pu mettre sa main à couper tant il était sûr que ces pas appartenaient à un homme. Homme qui, d’ailleurs, ne tarda pas à faire face au changeling. Grand et imposant, la peau légèrement cuivrée, son visage était encadré d’une longue barbe d’un noir de jais et de longs cheveux gras. Ses vêtements se révélaient trop petits pour sa personne et sa main droite tenait un long couteau. Dans un premier temps, ce fut la surprise et la peur qui marquèrent le visage de l’individu. Il est on ne peut plus probable qu’il n’ait jamais rencontré pareille bête sur les terres verdoyantes de la Forêt du Vergeau. Par la suite, ces expressions s’effacèrent pour laisser place à la faim. Zeke le remarqua tout de suite car si en ce bas monde il y a une chose que ce dernier connaisse comme sa poche, c’est bien la faim. D’un coup d’œil, il évalua la situation. Deux options s’offraient à lui. La première consistait à tuer cet homme. La seconde à fuir. De toute évidence, prendre la poudre d’escampette était la meilleure des solutions qui lui étaient venues à l’esprit. Jamais il n’a tué un homme qui avait connaissance de sa présence et ce n’est certainement pas avec une personne en possession d’une arme qu’il tentera l’expérience. La bête eut à peine pris les jambes à son cou que le couteau de son adversaire lui effleura la patte arrière. Zeke avait sans nul doute sous-estimé la rapidité de l’homme qui, bien que costaud, se déplaçait avec une légèreté déconcertante. Cependant, dans ce domaine, il ne pouvait dépasser le sauvageon lorsqu’il se métamorphosait en loup. Ce dernier accéléra la cadence et, très vite, il se retrouva en dehors de la Forêt, hors de portée. Drôle de sensation que de se sentir chassé des lieux par un chasseur. Surtout lorsque le chassé a pour habitude d’être le chasseur... Zeke retrouva forme humaine et examina la blessure que portait sa jambe droite. Il jugea celle-ci d’un regard critique. Selon lui, la plaie n’était que superficielle. Il retira de sa besace qui, tout comme ses fringues, avait pour particularité de faire partie intégrante de son corps sous forme animale, sa gourde. Il aspergea sa jambe d’eau, retira de ses épaules sa cape usée et, avec, pensa sa plaie. Le pas boiteux, il quitta la capitale du monde des humains.

Quinze jours de marche après – sans sa blessure à la jambe, dix tout au plus auraient dû lui suffire –, Zeke foula le sol de Lotheican, le royaume de la Magie. Il avait écouté deux vieilles femmes parler de cette cité alors qu’il se trouvait encore à Asunia. Au début, il ne désirait pas se rendre là-bas. Il avait retenu de la discussion des deux dames les mots « Académie » et « Bibliothèque ». Hors, le jeune homme n’était jamais allé à l’école et ne savait point lire. Néanmoins, par la suite, il entendit l’une des deux parler d’une chose beaucoup plus intéressante : les astres. « Jamais je n’avais vu les étoiles et la lune d’aussi près, Ily ! », disait cette dernière, un sourire déformant en une vilaine grimace les traits de son visage ridé. Zeke ignorait ce qu’elle entendait par « voir les étoiles et la lune d’aussi près » mais, dans tous les cas, il était prêt à donner le peu de chose qu’il possédait pour admirer ceci. Bref. Très vite, il demanda à une jeune femme, dont les somptueuses courbes devaient en faire tomber plus d’un, où se situait ce fameux endroit dont il ignorait tout, même le nom. Elle le dévisagea d’un regard navré et, du bout du doigt, lui indiqua les portes d’une grande bâtisse aux murs blancs. Elle apprit aussi au garçon que le nom que portaient ces murs était « l’Observatoire ». D’un hochement de tête, il la remercia. Puis, sans plus attendre, il entra dans le bâtiment. Là, en montant les escaliers qui menaient il ne savait trop où, il croisa le chemin de curieux personnages. Ces derniers portaient de drôles de vêtements et grattaient, avec une longue plume dont le bout avait été trempé dans de l’encre noire, du papier jauni. Émerveillé, Zeke en avait presque oublié sa plaie à la jambe jusqu’à ce que cette dernière percuta de plein fouet une caisse remplie de télescopes. Le jeune homme s’effondra de tout son long sur un sol frais et ravala un cri de douleur en serrant les dents, la vision brouillée par les larmes. Une voix féminine parvint alors à ses oreilles.

« Pourriez-vous aller semer votre pagaille ailleurs ? Ne voyez-vous donc pas que certaines personnes aimeraient profiter des étoiles en paix ? À moins qu’elles soient votre, auquel cas je serai bien déçue », entendit-il.

Une poignée de minutes s’écoula avant que la douleur qui le lancinait s’atténue enfin, lui permettant de se relever et de sécher ses yeux avec lesquels il balaya les lieux. Apparemment, les escaliers l’avaient mené au sommet de l’Observatoire. Vu de l’extérieur, ce dernier lui avait pourtant semblé beaucoup plus grand... Une rambarde encerclait la pièce vierge de murs et plusieurs télescopes et caisses étaient disposés par-ci, par-là. Devant lui se tenait une ravissante femme et, très vite, il fit le rapprochement entre elle et la voix qu’il avait entendue.

« Drôle de façon d’accueillir un nouveau venu, très chère. J’imagine que, enfant, votre mère a oublié de vous apprendre les bonnes manières. Je suis pourtant persuadé qu’elles vous auraient été utiles dans bien des situations » lui répondit-il de sa voix rauque et traînante. L’émerveillement qu’il avait ressenti en entrant dans l’Observatoire et en montant le corridor qui se trouvait en son intérieur s’était envolé. « Enfin, j’imagine que je vous dois tout de même des excuses pour avoir rompu votre... paix. Navré, m’dame », continua Zeke.

Il retira de sa chevelure un chapeau imaginaire et offrit à la brune une révérence des plus risibles.
Revenir en haut Aller en bas
" Invité "
Anonymous
Who am i !

Quand les trésors ne se cachent pas sur terre {Zeke} Empty

Quand les trésors ne se cachent pas sur terre {Zeke}

MessageSujet: Re: Quand les trésors ne se cachent pas sur terre {Zeke} Quand les trésors ne se cachent pas sur terre {Zeke} Icon_minitime1Lun 6 Fév - 1:59
Les étoiles restaient là, adossant leur rôle en scintillant de mille feux au dessus de leurs têtes ébahis lorsqu’un être se décida à troubler leur quiétude. Pas de la plus galante des enfants, il faut en concevoir. L’illuminé, à la pupille sûrement ébahi par la beauté des astres n’avait plus été apte à mettre un pied devant l’autre. Ainsi, le pied lourd et l’équilibre frivole, il s’était heurté à une caisse devant appartenir aux mages traînant dans le coin. La première réaction de Zadya avait été assez…houleuse. Néanmoins, à la vue du malheureux allongé sur le sol, elle n’éprouve même pas le semblant d’un petit picotement de pitié. Au contraire, elle se réjouissait qu’il soit puni pour avoir orchestré tant de bruit. Cependant, la donzelle ne se tromperait-elle pas légèrement ? En effet, si chute il n’y avait pas pu, aucun bruit n’aurait été déclenché. Mais bon, les voies intérieures de chaque êtres sont impénétrables paraît-il !

Après que ses mots peu mâchés furent prononcés, elle put quantifier un peu plus la scène. La caisse se trouvait forcément au mauvais endroit. Ô mages simplets, n’ayant de rivale pour leur goût du rangement que leur médiocrité vestimentaire. En effet, jamais son père n’aurait revêtu une robe. Hélas, tous ces êtres semblaient avoir confondu leur condition masculine en cette nuit. Faisant abstraction de ce léger bémol, la jeune femme s’arrêta sur l’auteur du crime. Il s’était relevé, prouesse digne du plus petit des avortons et en venait même à lui inculquer des leçons de politesse. Pour qui se prenait ce malotru ? Quiconque avec un peu de jugeote aurait prêté raison à la lady. Tout en n’appartenant pas à la haute société, ses manières semblaient beaucoup plus présentables que ce présomptueux bonhomme aux saveurs délavés. Sa joute verbale n’a d’égale que sa condition primaire, celle d’être un homme pour commencer, sûrement de l’espèce des primates éhontés et le fait de penser conquérir l’assemblée grâce à ses pirouettes débordant de maladresse. Zadya se serait presque crue revenue plusieurs années en arrières, lors des spectacles donnés par la troupe de cirque ambulante. Pipo faisait bien le pitre, clown de son métier, il épatait la galerie de ses mimiques et autres fourberies. Si l’incident n’avait été point volontaire, on aurait pu penser que l’âme de l’affable bougon aurait communiqué avec celle du malheureux affalé sur le sol afin de distraire un instant la roublarde. Mais, contre toute attente, il n’en était rien.

« Mère…bonnes manières »…Ce type n’avait décidemment aucun tact, ni aucune classe. Si sortir les crocs ne faisait pas partie de son registre, elle l’aurait volontiers défiguré à l’aide de ses ongles acérés. Mirage aurait fini de dépecer ce svelte corps de ses serres aiguisées. Ensuite, elle aurait distribué les différents attributs de l’humanoïde aux mages présents. Les plus fous auraient accepté ce cadeau ambitieux avec un intérêt certain témoignant leur curiosité pour les sciences. D’autres, plus ingénieux, se seraient probablement servi minutieusement de chaque parcelle du corps de l’être afin de mener à bien leurs expériences les plus douteuses et…caverneuses. Pourtant, il n’en était rien. Relevant la tête au rythme des courbures de son interlocuteur forcé, la demoiselle, tentant de pas paraître être la personne la plus exécrable que la terre ait porté, proposa quelques mots aux attaques personnelles qu’elle venait de subir.


« Mes bonnes manières ne sont pas bien disposées envers votre personne. De plus, ma mère n’est guère coupable de cet oubli puisque c’est mon père qui est l’investigateur de mon éducation. Alors oui, à bien vous regarder, on comprend combien les hommes sont peu doués en matière de relation humaine. Qu’il ne vous déplaise, je n’ai pas eu accès à tous les us et coutumes qu’il faudrait. »

Elle faillit ajouter quelque chose comme « Cependant, votre mère à vous a dû oublier l’option coiffure+vêtements+shampoing peut-être à la naissance » mais elle n’en laissa rien transparaître. De un car elle était vexée, troublée dans son orgueil. Sa mégère de génitrice ne devrait même pas être qualifiée de mère, personne n’occupait ce statut dans le cœur de Theladan, à part Jézabel.

Pourtant, si elle s’était montrée austère et peu clémente, la suite des évènements eut pour effet de mettre de l’eau dans son vin. Tempérant sa réaction, ses tempes cessèrent de faire des allers retours sous le coup de la colère et son visage se décrispa. Il lui présenta des excuses…Etait-elle à ce point en demande de gloire et d’accalmie ? Les mots de l’homme eurent un drôle d’effet sur Zadya. Il ne pouvait s’excuser, après tout, il n’était pas l’investigateur d’une mascarade des plus sournoises mais un simple passager sans défense. C’est pourquoi, elle ajouta :


« Je n’accepterai pas vos excuses. Je suppose que votre condition de maladroit chronique est la cause de notre dilemme. Je ne peux pas prendre vos excuses alors que c’est votre être tout entier qui est en tort. Il faudrait pour cela vous supprimer mais…avez-vous envi de partir aujourd’hui ?Ce n’était guère drôle. Ce genre de réflexion n’aurait pas lieu d’être mais Zadya et l’humour…Lorsqu’on côtoie des bandits, on finit par attraper de drôles de virus. Celui-là étant certainement qualifié d’humour noir, très peu conventionnel.
De plus, ce sont ces mages qui sont à blâmer. On ne laisse pas impunément traîner des caisses. Peut-être les étoiles leurs font tellement tourner la tête qu’ils ne peuvent plus redescendre et semblent planer ? Oh et ne prononcez plus jamais le mot ‘mère’ devant moi, sinon il se pourrait que je m’empare de votre pseudo chapeau pour vous le faire manger jusqu’à la dernière couture. Et s’il n’est pas assez consistant, on tentera l’expérience avec l’une de ces robes masculines portées par les mages. »

Sur ce, Zadya attendit. Après tout, peut-être ce personnage ne se trouvait-il pas là par hasard ? On ne se méfie jamais assez des êtres. Allait-il lui sauter à la gorge pour s’être ainsi moquée de lui ? Et ce n’est certainement pas l’un de ces encapuchonnés diablotins parcourant les astres qui lui viendrait en aide.
Revenir en haut Aller en bas
" Contenu sponsorisé "
Who am i !

Quand les trésors ne se cachent pas sur terre {Zeke} Empty

Quand les trésors ne se cachent pas sur terre {Zeke}

MessageSujet: Re: Quand les trésors ne se cachent pas sur terre {Zeke} Quand les trésors ne se cachent pas sur terre {Zeke} Icon_minitime1
Revenir en haut Aller en bas
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
[- Midgard -] :: Archives :: Archives :: RPs archivés-