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" Ourya "
Ourya
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Pégases et Princesses, à tout le moins (pv Lili)

MessageSujet: Pégases et Princesses, à tout le moins (pv Lili) Pégases et Princesses, à tout le moins (pv Lili) Icon_minitime1Ven 19 Oct - 9:48
Le Sultanat d'Hagor, terre de métamorphoses pour le pégase nommé Ourya. Alors qu'en quasi tout autre lieu de Midgard, le doux pégase n'est qu'un doux pégase dont l'épée enchantée Sylenda ne sert que la protection, la défense et la guérison, là bas, en Hagor, c'est la rébellion guerrière de Sylenda qui domine tout son être... On voit peu de pégases agressifs, c'est dire le degré de perversion de ces terres torturées. Un démon ne lui fait pas peur, comparativement ; celui-ci ne fait que servir le naturel violent et bestial de son être, en tant que partie de la Création comme les Pégases de leur côté. Les démons ne font que renforcer l'éclat de l’ascendance angélique, censée maintenir l'équilibre. Mais que dire, dites-moi, que dire de l'abîme vertigineux d'injustice dont le sultanat est l'acteur, bourreau effrayant de tout un peuple asservi ?

Régulièrement, Ourya retrouve Hagor. Caché, il attend le crépuscule puis, de sa demi-forme de pégase si semblable à la forme angélique, ses seules ailes blanches marquant sa nature véritable sur son apparence de jeune homme, il saute allégrement les puissantes murailles, en direction des quartiers les plus pauvres, l'épée au point.

Au fil de ses retours, le pégase a apprit à haïr les beaux habits, représentant l'oppresseur ou la soldatesque, et à protéger l'habit pauvre, victime éternel des premiers. Il n'a jamais eu à tuer, car dans la pénombre, les formes de ses ailes et la lueur vive de son épée terrorisent habituellement les serviteurs du démon, tout autant qu'elles rassurent les citadins persécutés, trouvant dans cette présence un réconfort et un rempart tout spécialement inespérés. C'est ainsi qu'on le connaît sous le surnom d'ange gris. Piètre activité néanmoins, dans la mesure où rien ne saurait être remis en question... Trop dangereux de rester le jour (où à l'envol le ciel ne peut plus cacher), trop dangereux de s'approcher du sanctuaire et encore moins du palais. Depuis des décennies, Ourya attend le moment où il pourrait agir, aider une révolte, soutenir des rebelles... Mais tous les mouvements qu'il découvrit ne furent que de pâles bras levés, trop affaiblis pour se battre, trop pauvres pour s'armer. Les seuls rebelles dignes de ce nom sont les brigands mais, bien loin de menacer le système, ils ne s'y attaquent pas et ne font que renforcer la misère et l'insécurité ambiante.


Le lendemain de l'une de ses "escapades nocturnes", peu efficaces mais lui donnant au moins le sentiment d'avoir fait quelque chose, Ourya se reposait, caché par quelques rochers, au sein des terres désolées. Quelle ne fut pas sa surprise de découvrir un "bel habit" poursuivi par plusieurs autres "beaux habits". Il n'avait encore jamais porté secours à la "frange dominante", et ne pensait pas changer cette habitude aujourd'hui... Pourtant, lorsqu'il se rendit compte qu'il s'agissait d'une jeune femme, et qu'il découvrit la figure peu avenante de ses poursuivants, il se décida à faire quelque chose...
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MessageSujet: Re: Pégases et Princesses, à tout le moins (pv Lili) Pégases et Princesses, à tout le moins (pv Lili) Icon_minitime1Sam 20 Oct - 11:14


Hagor. Terre aussi sèche que ne l'était le cœur de son dirigeant, tant fut-il qu'il en ait eu un. Ici, les gens étaient recouverts de poussière, leurs joues montraient les sillons creusés par les larmes, jour après jour, sous le joug du sultan Aydin Tser. Bien qu'encore jeune homme, fringant au sourire enjôleur - du moins pour ses courtisanes - il n'en restait pas moins la réincarnation du mal, de l'égoïsme et de l'impérialisme abusif.

Le peuple crevait en silence sous une oppression contre laquelle il n'avait pas les moyens de lutter.

Tout ça, elle avait tellement voulu le fuir, depuis son plus jeune âge. Elle aurait tant aimé que son frère n'existât jamais, bien que malgré tout, elle l'aimait, car Lirane était incapable de détester un être humain, et encore moins quand celui-ci faisait partie de votre famille. Quand il avait grandi avec vous. Et puis, quelle était sa véritable part de responsabilités, là-dedans ? Aydin avait simplement appliqué les préceptes que son père lui avait inculqué. Mais son cœur corrompu les avait améliorés.

Une larme coula sur sa joue. Elle n'en pouvait plus.

Elle se souvenait de sa mère qui lui brossait délicatement les cheveux. Elle se rappelait son chant mélodieux et sa douce voix. Les inflexions que prenait cette dernière alors qu'elle plaisantait, ou au contraire, s'énervait, fronçant deux sourcils droits et sombres. Et à côté, il y avait son père. Cet homme figé, sévère, et cruel. Celui dont les yeux la dévisageait chaque fois qu'elle essayait de lui porter un peu d'amour. Comment sa mère avait-elle pu subir ça tout au long de sa vie ?

Elle lui manquait tellement.

Mais si elle avait été là, peut-être la jeune Lirane ne serait-elle pas actuellement en train de courir les rues d'Hagor, hors d'haleine, les jambes hésitantes, la fatigue et la peur marquées sur son visage. S'ils l'attrapaient. S'ils la ramenaient auprès de son frère, alors sa punition serait terrible. Bien pire que le destin qui l'aurait attendu, si elle s'était contentée d'être une fille sage, une fille qui ne se rebelle pas.
Mais toutes ces horreurs lui retournaient l'estomac, elle voulait les fuir, lâche qu'elle était. Elle ne voulait pas de ce stupide mariage qui n'en était pas vraiment un. Elle ne désirait plus revoir le regard terrible de son frère. Son sourire carnassier. Ses paroles doucereuses. Lirane, ma sœur, que fais-tu donc ? Non. Jamais, jamais, jamais, jamais !

Elle avait enfilé un manteau trop long, ça n'avait même pas suffi. Les gardes du palais l'avaient vite repérée, et elle n'avait plus d'autre choix que de courir. Le bruit de ses bijoux qui s'entrechoquaient accroissait la panique grandissante. Son cœur battait la chamade. Elle trébucha.

Personne ne lui vint en aide, aux alentours. Ils avaient bien trop peur. Peur de ces gardes qui hurlaient derrière elle. Mais c'est elle qui se figea. Car dans le regard de ces gens, c'était surtout elle le monstre. La princesse. La sœur du démon. Mais en même temps, elle pouvait y déceler de la pitié. Ils avaient de la peine pour elle. Car si on l'attrapait...
S
oudain, un homme, étranger car sa peau était pâle, presque opaline, se dressa au milieu de la foule. Lui non plus, ne bougea pas. Mais lorsqu'elle vit l'épée accrochée à sa ceinture, elle planta son regard charbon dans le sien et bougea à peine les lèvres, le regard suppliant, contenant ses larmes.


« Je vous en prie... Aidez-moi... »


Les murmures s'élevaient autour d'elle. Elle ferma les yeux, alors que les pas se rapprochèrent plus encore de son corps allongé sur le sol.




---------------------

En espérant que ça te plaise ! La couleur de Lirane, c'est "gold". Alors je sais, c'est un peu clair avec le gris, alors si tu as des problèmes pour lire n'hésite pas à le signaler, ce n'est pas une couleur définitive (je cherche mieux, ahah !)
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MessageSujet: Re: Pégases et Princesses, à tout le moins (pv Lili) Pégases et Princesses, à tout le moins (pv Lili) Icon_minitime1Dim 21 Oct - 5:42
Spoiler:


L'hésitation marquait encore Ourya, tellement ancré dans son attitude d'ignorer les gens de la haute sphère d'Hagor. Par ailleurs, isolé parmi un peuple soumis à la loi de la terreur - qui ne pouvait se permettre d'aider autrui à quel point s'aider soi-même était déjà une oeuvre difficile - il n'avait que très rarement pris le risque de se démarquer de la foule en plein jour. Même pour un caractère spontané adepte du vécu du présent et de l'acte libéré de la crainte des conséquences, il ne fallait pas prendre à la légère le fait de s'aliéner les puissantes forces du Sultanat au milieu d'un pays à l'environnement hostile et sans aucun refuge ou allié connu pour soi.

Bien sûr, il ne pouvait que difficilement laisser une jeune fille seule au main de soldats brutaux qui semblaient la chercher comme les servants d'un boucher pour la chaîne de son abattoir. Mais s'il s'agissait d'un être égoïste et cruel comme tous les riches et joufflus personnages de ce royaume pourri, n'était-il pas plus juste de taire sa spontanéité ?

Tout cela travaillait dans son coeur, et c'est pourquoi il était resté aussi immobile que les autres, spectateurs impuissants de la cruelle poursuite. Bien sûr, il s'était rapproché de la scène, il n'avait pu ignorer cet appel au secours si poignant, sur la voix de la mélodie des coeurs. Mais au dernier moment, que faire en définitive ? Ne rien faire ? Plusieurs personnes avaient souri et regardé la poursuite comme un spectacle joyeux dans un amas de désespoir. Le mauvais sort renforce l'éclat de l'égoïsme, et comment ne pas se réjouir de voir l'oppresseur se retourner contre lui-même, plutôt que sur soi ?

C'est alors qu'il se passa cela.

Le regard de la jeune femme s'accrocha au sien, brillant d'un éclat pur et sincère, un regard transparent dont les larmes renforçaient la lumière. Au fond de ce regard donné, battait un coeur ouvert aux autres qui ne reflétait aucune des cruautés inhérentes à la suite du sultanat. La magie ne dura qu'un bref instant, mais c'était bien suffisant pour un pégase. Le murmure était presque inutile. La réponse également, car il n'y avait ni à prier, ni à appeler au secours. C'est tout naturellement qu'Ourya se dirigea vers elle, pour se planter entre le corps épuisé et les poursuivants qui, un sourire narquois aux lèvres, semblaient déjà crier leur victoire.

Ourya ferma les yeux, attentif à toute la sphère de son environnement. Il dégaina lentement son épée, qui semblait terne sous le soleil, mais son pouvoir ne rayonnait pas moins. Entièrement porté sur ses autres sens, il sentait les auras de tout son entourage presque aussi sûrement que s'il avait ouvert les yeux. Sa force et celle de son épée n'en formait plus qu'une. Rien ne pouvait arriver. Les premiers gardes qui se jetèrent sur lui reculèrent, aveuglés sans qu'ils ne sachent trop comment. Tout était trop différent pour eux, cet étranger aux couleurs pâles qui ne craignait pourtant pas le soleil, ses yeux fermés comme s'il se savait intouchable... Les gardes aveuglés qui avaient lâché leur arme reculèrent derrière les autres, mais ceux-ci reculèrent également, et toute la compagnie s'éloigna très rapidement. L'agressivité ambiante s'éteignit, puis Ourya ouvra enfin les yeux et porta son attention sur la jeune inconnue, maladroitement cachée sous un manteau trop grand pour elle.

- Je crois que nous devons maintenant fuir tous les deux ! Avant de se trouver encerclés par trop de renforts...

En tant que princesse, Lirane devait certainement connaître les effectifs des garnisons présentes dans la cité... Tout valait mieux pour eux, sauf traîner.

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MessageSujet: Re: Pégases et Princesses, à tout le moins (pv Lili) Pégases et Princesses, à tout le moins (pv Lili) Icon_minitime1Mar 6 Nov - 12:13


Comment définir le sentiment de gratitude qui envahit la jeune femme alors que cet homme se dressait entre elle et ses assaillants. Elle n’eut plus aucune retenue, les larmes coulaient abondamment sur ses joues, le soulagement jouant sur sa sensibilité. Si rien n’était gagné, elle était heureuse en soi de voir que quelqu’un lui venait en aide, que ce genre de personne existait encore. Dans son pays, autant dire que ça n’était pas courant. Mais elle ne pouvait en vouloir à personne. Ici, la richesse, on s’en méfiait plus que de la peste.

En moins de temps qu’il ne lui fallut pour réaliser – c’est-à-dire le temps qu’elle ne se relève avec plus ou moins de grâce, le visage poussiéreux et la tunique abîmée -, son sauveur l’avait débarrassée des meilleurs hommes de la garde d’Hagor. Un exploit en soi, bien que la jeune femme ne soit pas vraiment experte dans l’art du combat (elle-même n’avait encore jamais appliqué les bases qu’on lui avait inculquées tout au long des ans) et ne pouvait, par ce fait, avoir l’œil le plus critique qui soit. Son domaine à elle ne tenait que de la magie. L’arme était proscrite. Et ce qu’elle venait de voir tenait plus de la magie que du fait d’armes.


« Je crois que nous devons maintenant fuir tous les deux ! Avant de se trouver encerclés par trop de renforts... »


D’un revers de manche, elle essuya ses larmes, frotta ses yeux irrités par le sable, et hocha vivement la tête. Rester là équivalait à du suicide pour lui. A d’énormes souffrances pour elle.

Par réflexe, elle lui agrippa la manche. Ca la rassurait, bien que ce fut elle qui le guida à travers la ville, elle qui la connaissait presque par cœur, pour avoir parfois fait le mur, histoire d'éviter un jour ou deux le regard terrible de son père. Elle déboucha sur une place calme, anciennement lieu de marché. Aujourd'hui les gens étaient trop pauvres...

Le souffle court, elle observa en arrière. Personne. Ils avaient dû les semer, fort heureusement.
Une main sur le cœur, tentant de reprendre haleine, elle détailla son sauveur.


« M-merci.. je ne sais pas comment vous... »


Elle ouvrit plus grand les yeux, traversée par une idée lumineuse, ôta rapidement les bracelets disposés à son poignet et les tendit à l'inconnu, lui attrapant la main et plaçant les bijoux au creux de celle-ci.


« C'est de l'or. »


Elle se sentit bête de lui annoncer la chose d'une telle manière, comme si elle parlait à un arriéré. Elle rougit, bafouilla pour elle-même, puis reprit.


« Enfin, je veux dire... c'est de l'or véritable, comme on n'en trouve plus par chez nous... C'est un faible dédommagement, je le sais, en comparaison de ma vie, et de la vôtre, que vous avez si périlleusement risquée. »


Au final, sa vie à elle comptait si peu. Si peu que même son frère ne la prenait plus en compte.


« Merci. », souffla-t-elle finalement.



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Désolée de l'attente. ^^'
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MessageSujet: Re: Pégases et Princesses, à tout le moins (pv Lili) Pégases et Princesses, à tout le moins (pv Lili) Icon_minitime1Ven 9 Nov - 7:41
Tout s'était, en quelque sorte, résumé à une simple bulle. Soudain, la force de la réunion de deux êtres isolait leurs vies de la brutalité ambiante. La magie était réelle. L'instant de quelques battements de coeur, Ourya ne se sentit plus à Hagor, mais dans la calme forêt elfique si chère à son coeur. Le conseil avisé et pressant de l'intuition se hâtant pourtant de les éloigner au plus vite de ce lieu mortel...

Tandis qu'ils s'éloignaient déjà guidés par le pas sûr de Lirane, les forces de ces circonstances rendaient pour Ourya la jeune fille familière, bien qu'ils ne se connaissaient que de quelques minutes et que presque aucun mot n'avait été échangé. La parfaite inconnue de tout à l'heure était maintenant comme une amie à protéger. Lorsque la raison était forcée de battre en retraite face à l'urgence qui replaçait le coeur au centre de tout, alors les conclusions logiques et les évidences de façade n'avaient plus beaucoup la voix au chapitre.

Le pégase avait une endurance quasiment inébranlable, mais la jeune femme avait déjà été mise à rude épreuve lors de la première partie de la poursuite, et ils s’arrêtèrent peu après. Il faut vous reposer ! voulut lui dire Ourya désolé de la voir aussi abattue par le chagrin et la fatigue. Pourtant, il n'eut pas le temps de placer un mot, car ce fut elle qui trouva l'énergie de parler en tout premier lieu.

Ourya se trouva tout à fait désemparé, un peu penaud, les bijoux éclatants dans ses mains tendues.

- Mais...

Il se reprit heureusement sans tarder et, poursuivant d'une voix plus assurée avec un sourire d'évidence :

- Oh ! Ils ne m'iraient pas... Tout du moins, pas autant qu'à vous !

Il remit avec une délicatesse extrême les bracelets aux poignets de Lirane, comme si elle fut faite de porcelaine fine plutôt que de chair. La voyant un peu désemparée, il se hâta de rajouter, d'une voix légèrement mystérieuse :

- Ton plus beau joyau est l’éclat de ton regard, et il n'a de valeur que parce qu'il se donne sans se faire appartenir !

Les environs étaient toujours calmes, mais le temps manquait pour poursuivre la discussion. La prudence était de mise, enfermés dans une pareille ville.

- Bon, l'instant présent nous rattrape, à toute allure je crois...

J'imagine que s'il y a quelque chose à penser, c'est bien de sortir d'ici, mais ça va être difficile avec les portes ne croyez-vous pas ? J'imagine qu'elles sont toutes surveillées voire fermées, maintenant... Une solution ? Je n'en ai pas pour ma part, sinon se cacher jusqu'à la nuit pour profiter de la pénombre.



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